À chaque fois, une page avec des liens, expliquant la place de cet auteur dans mon travail.
Mon jury imaginaire :
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Jocelyne Dakhlia, pour l'anthropologie historique de la méditerranée musulmane (ma directrice de 2004 à 2012).
Florence Weber, pour la méthodologie ethnographique (complice de ma reconversion aux sciences sociales).
Ovamir Anjum, jeune chercheur américain qui, par l'histoire et les sciences sociales, m'a ouvert les portes de la théologie musulmane.
Rencontrés en chemin :
Johan Van der Keuken, photographe et cinéaste du réel, entremetteur de ma reconversion vers l'anthropologie.
Pierre Bourdieu, mon auteur de référence comme étudiant (jusqu'à ma conversion batesonienne), pour ses études kabyles et sa critique de l'intellectualisme.
Jeanne Favret-Saada, référence méthodologique incontournable, quoi que sur le mode de « l'incompréhension enthousiaste », dont je partage l'amertume rétrospective.
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Frederic Joulian, juste avant 2007, l'anthropologie avec laquelle j'espérais dialoguer.
Jean Genet (suggestion de JD) : j'admire l'écrivain qui a su renoncer à l'écriture, et m'identifie surtout au Captif amoureux des dernières années.
Ces dernières années :
steven_caton, thèse sur la poésie des Hauts Plateaux yéménites, vers 1980. Peut-être le plus réflexif parmi les spécialistes du pays, mais une anthropologie très « littéraire », qui m'est longtemps restée inaccessible. Un rendez-vous manqué.
Todd Shepard, historien, m'a raconté l'époque dans laquelle vivait mon père, dont je suis quelque part le produit.
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Emmanuel Todd, bien qu'en marge de l'institution universitaire, ses diagnostiques font mouche, presque à tous les coups!
Gérard Delille (suggestion de FW), pour l'intrication monothéiste, sous l'angle de la parenté.
Ibn Khaldoun, auteur stratégique, pour l'articulation des sciences sociales à l'histoire de la théologie sunnite.
Marcel Mauss, pour l'archéologie des Sciences Sociales françaises, et leurs rapports avec le monothéisme.
Sur l'Enfance du christianisme :