Homme de peine

Traduction du mot arabe shâqî (pl. shuqât), littéralement « celui qui peine ». Dans le Taez des années 2000, le terme désigne le travailleur manuel isolé en ville, qui vend sa force de travail dans l'espace public. Le terme comporte :

C'est cette complexité que je m'efforce de démêler en 2004 pour ma seconde enquête (DEA), avant d'évoluer vers les problématiques de vulgarité.