> « J'aimerais, pour finir, essayer de vous donner un aperçu de ce que je ressens, ou de préciser le genre de différences que cela provoque en moi, quand je regarde le monde du point de vue de l'épistémologie que je viens de décrire, lorsque j'abandonne la façon dont je le voyais avant - et dont la plupart des gens le voient toujours, je crois. (…) Le mot « objectif » tombe tout doucement en désuétude et, en même temps, le mot « subjectif », qui habituellement vous confine à l'intérieur de votre peau, s'évanouit également. Je pense que c'est là le changement le plus important, ce démantèlement de l'objectivité. Le monde n'est plus « là, dehors » comme il semblait l'être auparavant. Sans en être pleinement conscient, sans y penser tout le temps, je sais quand même toujours que les images (…) sont « miennes » et que j'en suis responsable d'une manière assez particulière. » | > « J'aimerais, pour finir, essayer de vous donner un aperçu de ce que je ressens, ou de préciser le genre de différences que cela provoque en moi, quand je regarde le monde du point de vue de l'épistémologie que je viens de décrire, lorsque j'abandonne la façon dont je le voyais avant - et dont la plupart des gens le voient toujours, je crois. (…) Le mot “objectif” tombe tout doucement en désuétude et, en même temps, le mot “subjectif”, qui habituellement vous confine à l'intérieur de votre peau, s'évanouit également. Je pense que c'est là le changement le plus important, ce démantèlement de l'objectivité. Le monde n'est plus “là, dehors” comme il semblait l'être auparavant. Sans en être pleinement conscient, sans y penser tout le temps, je sais quand même toujours que les images (…) sont “miennes” et que j'en suis responsable d'une manière assez particulière. » |