fr:comprendre:processus:le_noeud_26_septembre_2022
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D’ailleurs le lendemain (30 septembre), j’étais de nouveau avec mes compères dans la pièce de Ziad, dont nous attendions le retour. Au lieu de cela, c’est Nabil qui débarque et qui me tombe dessus : il me met au défi de répéter devant lui ce que j’ai dit à Ziad au téléphone… Petite montée d’adrénaline, | D’ailleurs le lendemain (30 septembre), j’étais de nouveau avec mes compères dans la pièce de Ziad, dont nous attendions le retour. Au lieu de cela, c’est Nabil qui débarque et qui me tombe dessus : il me met au défi de répéter devant lui ce que j’ai dit à Ziad au téléphone… Petite montée d’adrénaline, | ||
- | Quand je repasse dire au revoir à Ziad dans son village (15 octobre 2003), je n’ai pas de mots assez durs contre lui : il m’a livré à la violence de son frère, il est complice d’un système de viol généralisé… En deux semaines à peine aux côtés de Waddah, j’ai déjà retrouvé mes certitudes. J’ai besoin de croire à cette histoire de viol, parce que les rapports avec Waddah ne sont pas faciles, et parce que j’ai besoin de nommer le piège qui l’a attaché à moi : cette obsession patriarcale qui l’a conduit à se déshonorer. Nabil est donc assigné au côté obscur, et sa « tentative de viol » devient le symbole du Régime… Pour autant une semaine plus tard je rentre en France, et c’est une histoire très différente que je raconte dans mon mémoire. Au fil de l’écriture et de l’analyse, | + | Quand je repasse dire au revoir à Ziad dans son village ([[fr: |
fr/comprendre/processus/le_noeud_26_septembre_2022.txt · Dernière modification : 2024/02/28 11:06 de mansour